Pétrole marocain ET l`espagne ...
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Pétrole marocain ET l`espagne ...
* Le Gouvernement espagnol, dépourvu de pétrole, est
disposé à tout, et plus dans ces moments de crise mondiale, dans lesquels
l'Espagne emporte la pire partie malgré les prédictions de pitonisa de M. Solbes,
qui nie la décélération et la chute dans piqué de son économie qu'il a annoncée
elle serait doux et maintenant il est
connu qu'elle va pire qu'en 1993. La consommation du panier de l'achat en
Espagne souffre de deux malheurs : l'explosion de la bulle immobilière et la
crise du marché du crédit, aggravé avec la montée du prix du pétrole. Les
chiffres du produit national brut pour le premier trimestre de cette année
publiées par l'Institut National de la Statistique ont révélé une très petite
progression de 0,3 % de la richesse entre janvier et le mars (ou bien, 2,7 % dans
un rythme annuel); il s'agit de la taxe de plus faible croissance depuis quinze
ans...
* Le Maroc et le Gouvernement de la métropole
espagnole savent parfaitement que la zone Tarfaya-Agadir-Fuerteventura est la
la plus prometteuse et elle pourrait se convertir en zone d'exploitation comme
celle-là de la Mer du Nord par les caractéristiques géologiques similaires de
la zone du Mar du Nord...
* Comme l'Espagne n'a pas de pétrole, , il aurait du
gaz et pétrole au côté même de ses dépenses, avec ce qu `elle pourrait avancer
dans son industrialisation, de là l'intérêt espagnol aux prospections
marocaines à travers de Repsol sur la côte de Fuerteventura....
* Les Marocains garantissent la commercialisation et
l'exploitation des produits pétroliers et de gaz par une période de 25 ans avec
une prorogation de 10 plus et le Gouvernement marocain seul exige 25 % d'impôts
sur les gains, une fois l'exploitation est consolidée. Cependant, les pétrolières
sont exemptes de payer royalties dans des zones "off shore" les 300.000
premières tonnes de pétrole et 300 millions de mètres cube de le gaz qui
produit chaque puits dans une exploitation jusqu'à 200 mètres de profondeur. Plus
loin de 200 mètres, les 500.000 premières tonnes de pétrole et les 500 millions
de mètres cube de gaz sont aussi exempts...
* Si le Maroc arrive à consolider sa production pétrolière
dans des eaux proches des Canaries qui lui appartiennent (selon le droit
international), il pourra se convertir en grande puissance économique,
puisqu'il contrôle avec cela des réserves importantes mondiales de phosphates;
il est le premier exportateur mondial avec 40 % du marché (12 millions de
tonnes)...
disposé à tout, et plus dans ces moments de crise mondiale, dans lesquels
l'Espagne emporte la pire partie malgré les prédictions de pitonisa de M. Solbes,
qui nie la décélération et la chute dans piqué de son économie qu'il a annoncée
elle serait doux et maintenant il est
connu qu'elle va pire qu'en 1993. La consommation du panier de l'achat en
Espagne souffre de deux malheurs : l'explosion de la bulle immobilière et la
crise du marché du crédit, aggravé avec la montée du prix du pétrole. Les
chiffres du produit national brut pour le premier trimestre de cette année
publiées par l'Institut National de la Statistique ont révélé une très petite
progression de 0,3 % de la richesse entre janvier et le mars (ou bien, 2,7 % dans
un rythme annuel); il s'agit de la taxe de plus faible croissance depuis quinze
ans...
* Le Maroc et le Gouvernement de la métropole
espagnole savent parfaitement que la zone Tarfaya-Agadir-Fuerteventura est la
la plus prometteuse et elle pourrait se convertir en zone d'exploitation comme
celle-là de la Mer du Nord par les caractéristiques géologiques similaires de
la zone du Mar du Nord...
* Comme l'Espagne n'a pas de pétrole, , il aurait du
gaz et pétrole au côté même de ses dépenses, avec ce qu `elle pourrait avancer
dans son industrialisation, de là l'intérêt espagnol aux prospections
marocaines à travers de Repsol sur la côte de Fuerteventura....
* Les Marocains garantissent la commercialisation et
l'exploitation des produits pétroliers et de gaz par une période de 25 ans avec
une prorogation de 10 plus et le Gouvernement marocain seul exige 25 % d'impôts
sur les gains, une fois l'exploitation est consolidée. Cependant, les pétrolières
sont exemptes de payer royalties dans des zones "off shore" les 300.000
premières tonnes de pétrole et 300 millions de mètres cube de le gaz qui
produit chaque puits dans une exploitation jusqu'à 200 mètres de profondeur. Plus
loin de 200 mètres, les 500.000 premières tonnes de pétrole et les 500 millions
de mètres cube de gaz sont aussi exempts...
* Si le Maroc arrive à consolider sa production pétrolière
dans des eaux proches des Canaries qui lui appartiennent (selon le droit
international), il pourra se convertir en grande puissance économique,
puisqu'il contrôle avec cela des réserves importantes mondiales de phosphates;
il est le premier exportateur mondial avec 40 % du marché (12 millions de
tonnes)...
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